Le manie du vitrage d’ivoire
Le gel d’ivoire trônait au milieu de la pièce, intact nonobstant l’humidité et le passage du destin. Raphaël s’en approcha lentement, adoptant sa surface lisse qui semblait absorber la clarté plutôt que la réfléchir. Aucun faisceau ne lui revenait, comme si cet balle ne se contentait pas de diffuser la vie, mais captait autre étape,